lors de la grande rencontre des CAE je me suis inscrit dans le groupe « plaidoyer » de notre fédé naissante.
Je souhaite plaider une reconnaissance de plein droit des activités des CAE auprès de l’ADEME. Les auto-entrepreneurs bénéficient de subventions que nous ne pouvons obtenir, et parfois une infime partie (pour seulement un petit nombre d’ES) au prix d’un travail très chronophage.
Outre le cas évident des aides aux vélos cargo, un cas encore plus emblématique à mon avis est l’aide à l’acquisition d’une laveuse de bouteille pour des activités qui mettent en œuvre la consigne (micro brasserie chez nous). Objet 100% raccord avec l’ADEME, et pourtant nos activités ne sont pas éligibles dans leurs critères…
Il semble que des CAE y arrivent localement sur certains territoires, mais c’est toujours au prix d’un temps d’accompagnement très important.
Si vous avez des exemples d’argumentaire et voulez vous joindre à moi, dites-moi !
Lors des rencontres de la fédération des CAE à Sète, j’ai eu l’occasion de suivre l’atelier du Grape sur leur fonctionnement avec des activités intégrées et des activités associées.
Dans le cadre des activités associées, elles ont leur propre structure juridique. Le Grape prend une participation de 10% au capital et elles bénéificent des mêmes services que les activités intégrées pour le même tarif (gestion, accompagnement, …)
Comme elles disposent de leur propre numéro de SIRET, cela lève la contrainte du montant maxi de subventions accessibles.
C’est justement ce numéro de SIRET, au centre des « sorties positives » de Pôle Emploi pardon « France travail » par ailleurs que nous souhaitons remplacer par nos codes activités. @nicolas.loubet travaille déjà avec l’ADEME, on va pouvoir travailler ensemble sur ce sujet. Et commencer à faire fonctionner la Fédération des CAE j’espère.