Dans le cadre de son Laboratoire, Coopérer pour Entreprendre engage en 2021 un champ de réflexion autour des activités dites de transition écologique, portées par des entrepreneurs individuels ou des collectifs d’entrepreneurs. Ces « éco-activités » sont déjà présentes dans les CAE. A quelle hauteur ? Les entrepreneurs qui réalisent ces éco-activités (et que nous nommerons éco-entrepreneurs) ont-ils des besoins auxquels la CAE ne répond pas encore ? Pour quelles raisons ont-ils fait le choix de la CAE ? Comment envisagent-ils leur(s) activité(s) à moyen terme ? Cette enquête a pour objectifs de :
- Cartographier les éco-activités et notamment les nouveaux métiers,
- Identifier les parcours professionnels et conditions d’exercice de ces professionnels,
- Identifier des obstacles et besoins particuliers.
Votre activité ou l’une de vos activités vise(nt) à répondre concrètement aux défis écologiques auxquels nous sommes confrontés ? Cette enquête est faite pour vous. Elle durera 20 minutes environ. En y répondant : Vous contribuerez à concevoir de nouvelles solutions de sécurisation portées par les CAE pour votre secteur, vous aurez accès à vos réponses, vous serez informé.e des résultats de l’enquête, vous pourrez participer à une session d’approfondissement.
Répondez à l’enquête à ce lien : >> https://sondage.cooperer.coop/469222?lang=fr <<
Cette enquête est réalisée avec le soutien de la MACIF, de BPIFrance Création et du FSE, dans le cadre du PON 202101563.
Vous avez un doute sur ce qu’est une éco-activité ? Selon la définition de l’OCDE, les éco-activités représentent les biens et services capables de mesurer, prévenir, limiter ou corriger les impacts environnementaux tels que la pollution de l’eau, de l’air du sol, ainsi que les problèmes liés aux déchets, aux bruits et aux écosystèmes. Il s’étend aujourd’hui, dans le cadre de la transition écologique et énergétique, à l’ensemble des produits et services répondant aux besoins de nouveaux usages éco-responsables : mobilité, bâtiment, alimentation. Entre 2004 et 2011, le nombre d’emplois dans le secteur environnemental a augmenté de 36 %, soit à un rythme annuel moyen de 4,6 %. Une évolution très supérieure à celle de l’ensemble de l’économie (0,3 %).